L’esprit start-up, ça fait rêver les jeunes qui aiment le cadre d’une certaine liberté au travail alliant productivité à son apogée en un laps de temps cours.
Puis moment de détente pour faire reposer le cerveau avant de se remettre au travail.
Sommaire
- 1 Ecosystème pour la diversité et contre la discrimination
- 2 Les start-up se fient à la compétence et au vécu des profils à recruter
- 3 Quelle place pour les études au cœur de la phase de recrutement des start-ups françaises ?
- 4 Le crédo de la start-up : faire avancer la cause tribale pour révolutionner l’innovation technique
- 5 La start-up mise sur des personnes en particulier et non sur des niveaux universitaires en premier lieu
Ecosystème pour la diversité et contre la discrimination
Cette logique de travail développée au cœur des sociétés américaines cartonne. On peut facilement enchaîner les tâches avec un excellent indice de performance. Puis faire une partie de baby-foot dix minutes avant de se remettre au travail.
Le cadre plaisant, attractif et à la fois professionnel dans lequel les start-ups développent leur culture de travail est très intéressant. Les méthodes de travail futuristes vont à l’encontre de ce qui peut se faire dans le cadre de la culture bureaucrate.
En effet, le nouveau cadre de travail que développe les start-up françaises est au cœur de nouveau mode de recrutement où la compétence des candidats est mise en avant.
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Les start-up se fient à la compétence et au vécu des profils à recruter
Pourquoi les start-up diffèrent aujourd’hui sur leur manière de recruter ? Parce qu’elles cherchent avant tout des cerveaux. Comme la Silicon Valley qui avec leur politique de drainage de cerveaux accaparaient les meilleurs recrutements d’ingénieur en Inde, les start-up françaises font de même. La compétence est donc leur première volonté. Elles se fichent de la couleur de peau ou de la discrimination homme-femme. Ceux qu’elles souhaitent avant tout, c’est de l’innovation technologique et high tech pour pousser comme des champignons.
Quelle place pour les études au cœur de la phase de recrutement des start-ups françaises ?
L’écosystème start-up est vu comme un phénomène attractif. Beaucoup de jeunes s’intéressent avec l’avènement du numérique et des technologies de l’information à ce nouveau modèle d’entreprise porté sur l’avenir. D’ailleurs, si vous n’avez pas compris que le digital est obligatoire dans notre société, vous avez certainement loupé le wagon futuriste
La start-up ne va pas forcément s’intéresser dans le cadre de votre CV à votre parcours universitaire. Ce qu’elle veut, c’est du concret et non de la théorie. C’est-à-dire des profils innovants et créatifs qui font avancer ses projets. A moins que vous ne sortiez d’HEC et êtes à la tête de projets personnels innovants. Cependant, dans bien des cas, ces profils sont promus à être chef de projet ou directeur de sa propre start-up.
Ce que recherche avant tout la start-up, ce sont des candidats qui sortent hors du commun. Qui possèdent des compétences techniques et pragmatiques très poussées dans un domaine. Et surtout qui ont leur propre expérience avec des méthodes qui fonctionnent.
Le crédo de la start-up : faire avancer la cause tribale pour révolutionner l’innovation technique
Une start-up naît et grossit au cœur d’une économie où elle doit vite s’adapter pour apporter des solutions à ses clients. Elle doit donc vite trouver les moyens de s’ancrer dans le système économique et transcender les logiques du marché où elle s’insère. La phase de recrutement passe donc forcément par une compilation de profils ingénieux qui doivent combiner leur force entre eux.
Si la start-up est loin d’être discriminatoire au cœur de son étape de recrutement, c’est parce qu’elle cherche la personne la plus apte à prendre des décisions et à agir en groupe au nom de sa société. Vous avez déjà vu les membres d’une start-up sauter de joie ou s’entrelacer lorsque les résultats de leurs efforts sont récompensés. La start-up fonctionne grâce à la collégialité et la complémentarité entre ces membres. Elle recherche donc des petits génies dont l’individualité va permettre de faire progresser le groupe et la structure en dernier lieu.
La start-up mise sur des personnes en particulier et non sur des niveaux universitaires en premier lieu
Les membres des start-up sont par définition plus des personnes connus pour leur extravagance et leur innovation. Ce sont donc des êtres pensifs et capable d’apporter leur pierre à l’édifice. Les recruteurs seront donc plus aptes à sélectionner un membre qui raisonne, réfléchit et exprime son originalité plutôt qu’un universitaire sont trop d’expérience et incapable de prendre des décisions. C’est dans ce sens où les discriminations et les barrières tombent dans les phases de recrutement.
D’ailleurs, on remarque que beaucoup de membres de start-up ont des looks assez distingués. Ce que souhaitent avant tout ce nouveau modèle d’entreprise d’avenir, c’est une personne qui s’assume et qui a des idées. Car ne l’oublions pas, la start-up se démarque du modèle classique par l’innovation technique.