Lorsque vous diffusez un document traduit, c’est l’image de votre société ou organisme que vous véhiculez.
Restituer l’essence de votre message dans une autre langue, avec les terminologies et le style appropriés est un véritable exercice qu’il convient de confier à des professionnels. Comment bien choisir votre fournisseur ?
Dans cet article, vous trouverez cinq conseils pour vous aider à choisir votre agence de traduction professionnelle.
Sommaire
1. Un traducteur professionnel travaille dans sa langue maternelle
La fluidité de la traduction ne peut être obtenue que par des traducteurs qui travaillent dans leur langue maternelle. Eux seuls sont à même de choisir les termes exacts et les bonnes formules tout en respectant les subtilités linguistiques propres à chaque langue.
Anglais britannique, américain ou canadien, français hexagonal, international ou canadien, espagnol pour l’Espagne ou pour l’Amérique latine, il existe des différences et des particularités, voire des subtilités, que seule une personne de langue maternelle peut maîtriser.
2. À chaque traducteur sa spécialité
Vos traductions doivent être précises et refléter votre document original avec exactitude. La connaissance de votre secteur d’activité est donc une condition indispensable pour garantir une traduction de qualité.
Parce que chaque secteur d’activité est spécifique, exigez un traducteur qui bénéficie d’une expertise solide et avérée dans votre domaine. Par exemple, si vous souhaitez réaliser la traduction d’un contrat, il faudra faire appel à un traducteur spécialisé dans le domaine du droit.
Dans la pratique…
À défaut d’une preuve d’agrément pour les indépendants ou d’une certification pour les agences, n’hésitez pas à demander le CV des traducteurs ainsi que leurs références ; ces éléments vous donneront une idée précise de leur profil et de leur expérience dans votre secteur.
3. Indiquez votre objectif final
Plaquette de communication, brochure pour un séminaire, discours, page de site web, article de presse : votre communication répond à des objectifs spécifiques. N’hésitez pas à préciser à votre traducteur la finalité de votre document, il en tiendra compte pour affiner sa traduction et la rendre plus pertinente. Vos documents de référence et vos glossaires sont également des outils précieux qui lui permettront de respecter la terminologie propre à votre organisme.
Demandez-nous de le créer pour vous – il sera enrichi au fur et à mesure des traductions et validé régulièrement par vos soins.
4. Donnez-vous le temps
Vous prévoyez de communiquer en plusieurs langues ? Anticipez et contactez votre agence de traduction en amont pour lui communiquer vos contraintes techniques : gros volume de traduction, combinaisons de langues multiples, traduction de site web ou insertion de PAO dans votre document. Un chef de projet prendra votre dossier en charge et définira avec vous un cahier des charges précis afin de répondre parfaitement à votre attente.
Dans la pratique…
Vous pouvez être confrontés à des travaux urgents de dernière minute, dans ce cas, privilégiez une agence qui bénéficie d’un réseau international (traducteurs positionnés sur plusieurs fuseaux horaires, filiales basées dans différentes pays) et qui sera donc en mesure d’être réactive et flexible.
5. La touche finale de votre traduction : la relecture
La relecture doit être systématique et faire partie intégrante du processus de traduction. C’est une étape indispensable pour garantir un document parfaitement fiable tant sur le fond (harmonisation des terminologies, fluidité de la traduction) que sur la forme (vérification de la mise en page et respect de la charte technique du document). Afin d’obtenir une traduction qualitative, n’hésitez pas à privilégier le travail d’une agence qui indique clairement effectuer un contrôle qualité des documents traduits. Renseignez-vous alors sur cette étape très importante qui pourra aguiller le choix de votre prestataire de traduction.